mercredi 31 mars 2010

Un dernier mars... et ça repart!


En mars:
On a ri, on s'est bâfrés de crêpes tous les jours, les pieds sur la table ou le cul sur une chaise.

Il y a eu quelques magnifiques rayons de soleil qui nous ont fait croire au printemps avant l'heure, mais c'était sans compter sur le vent.
On s'est câlinés comme jamais. On a décidé de former une famille au sens patronymique. La date de la célébration religieuse est même arrêtée : le samedi 14/08 à 10h30.
Octave a adoré joué avec sa Mamon (comprenez Manon) et moi je me suis éclatée à les regarder se bouffer le nez chamailler car j'ai découvert mon fils en société, tel qu'il est à la crèche, sans nous.
Il y a eu aussi les premiers pas, à la Lucky Luke, à la cacaculotte, à la bébé-éméché. M'enfin ils sont là, bien récurrents.
Et ces instants-photo quasi quotidiens pour arrêter fugacement ce temps qui passe inexorablement...


Je rejoins ainsi, in extremis, le "last day" de VirginieB et Chocoladdict!

Mon mois pour toi / avril

Souvenez-vous, c'était le mois dernier
Je vous avais proposé l'idée suivante:

Si on s'offrait un cadeau à chaque début de mois?
Une fleur,
Une chanson,
Une musique,
Un poème,
Un texte,
Un paysage,
Une création,
Un tableau,
Le sourire d'un enfant,
La douceur d'un instant...

14 cadeaux avaient été partagés.

Et voici pour vous ce mois-ci :
Ma chanson "bonne humeur" !








Si tu veux participer à notre échange de cadeau d'avril, rien de plus simple:
Tu publies jusqu'au 10/04
(en m'avertissant par commentaire ou mail)
Et je recense nos trésors dès mon retour d'Angleterre (le 11)!

mardi 30 mars 2010

Quand les goûts dégoûtent


"Joli paysage champêtre", penserez-vous peut-être?
Un peu kitsh, un peu hollandais comme dirait PapaPouic.
Un peu tout ça oui.
Et pourtant cela ne m'a pas empêché de la choisir en tant que toile cirée.

Quelquefois je me crois chez mes grands-parents dans les années 70,
Quelquefois je me dis que nous faisons le bonheur de mon fils qui peut nourrir sa vache durant son repas,
Quelquefois je me dis que je ne dois pas tourner rond car je trouve le résultat monstrueusement décalé.




Combien de temps vais-je tenir?
Et toi tu tiendrais combien de temps?

lundi 29 mars 2010

Prix littéraire des blogueurs / Prix Indiana #9/10



Quatrième de couv'

On retrouve ici les quatre héros de Malavita, l'inénarrable famille Blake. Repenti de la mafia new-yorkaise, Fred Blake, rebaptisé Wayne, a obtenu la protection du FBI, et s'est installé en France avec les siens sous la surveillance tatillonne d'un ange gardien légèrement dépressif. L'ancien gangster a trouvé dans l'inépuisable réservoir d'anecdotes de sa première vie la matière de quelques thrillers. Tout se passerait pour le mieux si la cellule familiale n'était pas emportée dans la tourmente des remises en cause existentielles... Les enfants traversent une adolescence compliquée, l'épouse fidèle a décidé de s'émanciper, et l'auteur de romans, soudain seul face à lui-même, est en proie aux affres de la création littéraire. Des problèmes ordinaires, somme toute, pour une famille qui ne l'est pas... Ils seront résolus de la façon la plus diabolique et la plus hilarante qui soit.


Ma lecture

Globalement, mon impression est assez positive. Malavita encore est un roman que l'on prend plaisir à lire, un roman divertissant.

Mais... (je me trouve si critique...)

Benacquista a déjà fait mieux, nettement mieux. Notamment lors du premier tome (Malavita) ou encore avec Saga.
Dans cette suite, j'ai trouvé les personnages fades. Ils sont tous ébauchés excepté Fred durant une bonne partie du roman.

Certains ellipses dans la narration ont rendu le fin du livre quasi incompréhensible : L'histoire de Belle est complètement improbable, Warren l'amoureux transi qui prend un virage à 90° dans sa carrière. Je ne comprends toujours pas l'intérêt de la substitution des Wayne, ce qu'il est advenu du personnage censé être envoyé en tant que sosie punitif.

Vous l'aurez compris, la résolution de l'œuvre m'a totalement échappé. Cela m'a semblé bâclé, improbable, voire facile.

Une déception donc...
D'autres critiques plus enthousiastes chez Zaza, Elizabeth et Plume

Allez, il m'en reste un à lire dans le Prix littéraire des blogueurs !

Un l♥♥k, un jour #5


Après m'être complètement lâchée samedi (je ne m'en remets d'ailleurs toujours pas)
Me voilà revenue à une valeur sûre et classique: Le Pouic

Tenue "British" car je vous rappelle que nous partons dans 10 jours
visiter Nicki and her family (souvenez-vous, ma corres anglaise)

Je vous laisse aussi le soin d'admirer mon œuvre : non pas le knickers, ni le polo, mais le bandana !

dimanche 28 mars 2010

Happy Sunday Evening Saison 2, #30

Proposition 1
Le repos du marcheur


C'est bien la première fois que le biberon est plus fort que le Pouic...
Il n'a même pas réussi à le terminer ni à réclamer des pâpâtes et un gâteau après.
A 19h30, K.O l'asticot!

Je crains le réveil demain matin (voire même cette nuit)
D'autant plus que PapaPouic travaille jusque 7h du matin...

Proposition 2
Le planning à venir qui commence à me gaver hanter


Je réalise aujourd'hui pourquoi nous avons mis tant de temps à nous décider:
Cela rélève du cauchemar d'organiser un mariage
entre les vacances des uns, la disponibilité du prêtre, 
des églises, le désir de voir la famille proche à nos côtés,
les intérêts des uns et ceux des autres,

J'ai bien envie d'enlever le Promis
Pour me le marier à moi toute seule!

samedi 27 mars 2010

Rhabille-toi !


Voilà Zaza, pour ma participation digne de ta follerie!
Pour toi, et pour faire honneur à ton concours, j'ai décidé de jouer totalement le jeu.

Un look de plage, un jour de printemps.

Fin des participations le 30 mars!
Allez, à vous de jouer les filles!

Exactement le contraire, T. HOBAN #4/24

Un p'tit clic sur l'image pour mieux la voir!

  Impossible de poursuivre ce challenge "Je lis aussi des albums" sans présenter 
Tana Hoban, l'incontournable!

Cette photographe a l'art de mettre en scène des images, surprenantes, avec des couleurs vives ou des contrastes saisissants, ainsi que des effets réalistes.
A chaque lecture on y découvre quelquechose de nouveau.

Avant de regarder avec le Pouic (petit) Blanc sur Noir, je n'étais pas tellement convaincue, mais sa réaction m'a permis de comprendre à quel point les objets mis en scène étaient réels pour mon tout petit qui tentait de les attraper.

Nous avons emprunté à la médiathèque Exactement le contraire et nous sommes toujours aussi enthousiastes.

Une autre vision du monde, des couleurs et des contraires qui ne sont pas ceux que l'on attend.

Ceci est notre quatrième participation au Challenge Je lis aussi des albums



jeudi 25 mars 2010

Annonce officielle !

C'est pas systématique... mais c'est de bonne grâce et sur plusieurs mètres!


L♥ ve

Le principe du SPJ (Self Portrait du Jeudi) c'est celui-ci:

C'est un "self portrait" il faut donc vous prendre en photo vous-même et apparaitre sur la photo (un peu, beaucoup... sans obligation de montrer votre visage) avec comme thème ce mois-ci :

LOVE!



Pour toi, j'ai joué ma star,  emmariagée, et me suis projetée quelques mois en avant!

mercredi 24 mars 2010

Cheap Chipeur !

Cette semaine, j'ai décidé de faire mon coming out de mère indigne.

Je constate avec étonnement, amusement et quelquefois inquiétude que je ne suis pas une mère hyper inquiète.

Bien sur j'ai l'oeil toujours qui opère un 180° sur le Pouic, mais je le laisse vivre.
La preuve : il peut se trouver à 5 mètres de moi et avoir tout le loisir de bouffer une merde de chien...

Jusque là, les fées ont été bienveillantes, incitant le petit à me montrer chaque fois ses petites (voire minuscules) trouvailles plutôt qu'à les gober direct.

Ce qui nous sauve?  Le fait que cela ne ressemble pas à un gâteau.
(et là, vous vous demandez quel gâteau peut-il manger qui ressemble à un  étron animal, hé bien je me le demande aussi encore, je l'avoue)

Pourtant je ne compte plus le nombre de fois où il s'est emparé d'un couteau, une fois même d'un rasoir (honte à moi pour la vie), il a bu des dizaines de litres d'eau du bain, a mangé du bois, du sable, de la terre agrémentée d'engrais, et la liste est longue...


Et c'est là où j'ai besoin de vous pour me rassurer.
Malgré ma vigilance (et pas hyper vigilance, j'en suis consciente), il les accumule les boulettes.
Allez, les filles, lâchez vous, prouvez moi que vous avez pu laisser faire pire!!


mardi 23 mars 2010

Ce que je sais de Véra Candida, V. Olvadé


Quatrième de couverture

Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d'une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C'est ce qu'il fallait pour donner à cette fable la portée d'une histoire universelle : l'histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants. L'histoire de l'amour en somme, déplacée dans l'univers d'un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes - et les êtres - qui lui sont chers.

Ma lecture

D'emblée j'ai beaucoup aimé l'écriture de Véronique Olvadé. Des phrases qui sonnent juste, les mots qui font mouche.
Trois personnages féminins, sans beaucoup d'analyse psychologique, mais des caractères qui se dévoilent à nous en même temps que les faiblesses et les failles.
Chacune porte le poids d'un passé, des histoires de maternité assumées différemment, sans paternité.

C'est un joli roman même si ce qu'en dit la quatrième de couverture n'est pas la manière dont j'ai ressenti ma lecture, je n'y ai pas vu la fable universelle.
Ce que je sais de Véra Candida, est plutôt la tragédie d'une saga matriarcale où il est question d'amour: de celui que l'on porte mal, que l'on porte douloureusement ou passionnellement à ses enfants, et aussi du sentiment amoureux homme/femme que l'on apprend à donner, dans la confiance, quand la blessure demeure vivace.

Je vous conseille ce livre si vous ne l'avez pas encore lu.
Connaissez-vous cet auteur? J'ai envie de lire Mon coeur transparent. L'avez-vous lu?

lundi 22 mars 2010

Mon fils est un boulet

Attention!
Je pense que le fils va concurrencer les boulettes de ses parents...
J'ai du lourd ce soir...

Ce week-end le Pouic a fait ses premiers pas seul.
Une petite dizaine de pas lâchés.
On aurait pu craindre qu'il pose le pied dans une crotte de chien.
Non, elle était déjà partie dans la bouche ...

Oui, vous avez bien compris,
Comme dirait la MamiVé qui n'a pas sa langue dans la poche :
"C'est bien la peine de lui avoir fait manger du bio"

Une chance: visiblement, cela ne lui a pas plu.



J'ai longuement hésité entre vous livrer la version soft (Le Pouic a compensé ses premiers pas vers l'autonomie avec le premier vrai baiser donné sciemment dans un élan d'amour à sa Maman), mais la version trash valait son pesant d'or...
Pas vrai?

dimanche 21 mars 2010

Happy Sunday Evening Saison 2, #29

un petit clic sur l'image pour mieux voir..

Tant de bonheur...
Ne peut faire que mon bonheur...

Poppy a besoin d'ondes
C'est par ici qu'il faut les envoyer!

Retour aux courses

Suite à mon billet plaintif concernant mon amour des courses, beaucoup d'entre vous m'ont avoué avoir trouvé des parades:
  • Les heures creuses (fait)
  • Les hyper drives (ça n'existe pas ici mais j'adorerais)
  • Le marché que je fais avec plaisir mais dans lequel je ne trouve pas tout
  •  Le mec qui décharge (un fiston costaud par exemple) ou carrément le mari qui fait les courses.
  •  
Sauf que là, moi je rencontre des problèmes malgré une bonne volonté évidente :

  • Il oublie la liste et quand il ne l'oublie pas, il ne déchiffre pas mon écriture ou n'a pas trouvé dans le rayon des produits pourtant faciles (genre les couches Pa**pers)

  • Il n'en fait qu'à son goût et comme il est légèrement monomaniaque, et n'a pas mon souci de poids (euphémisme conscient) c'est bacon par paquets de douze, pizzas par cinq, desserts sucrés, pâtes, plats préparés (beurk).
La semaine dernière, son tour de supermarché a viré à l'épopée:

Il s'est fait piqué et échangé son caddie (jamis entendu ça ailleurs) donc il n'avait plus ses sacs de caisse ni le cadeau (mini clé usb) qu'il m'avait fait, ni les un euros que je garde dans la voiture au cas où. Il soupçonne un gang de piqueurs d'euros là où j'accuse son étourderie...

Il a trouvé que faire boire du lait de chèvre à Octave c'était meilleur que le lait entier,

Il n'avait pas pesé les fruits et légumes et a donc largué et laissé ce qui aurait semblé un semblant de menu équilibré à la caissière,

Il a lâché le caddie plein qui s'est encastré dans notre voiture.


Alors c'est vrai que je déteste ça, faire les courses, mais ça me prend 1h montre en mains et c'est légèrement plus rentable...

samedi 20 mars 2010

Mariage en vue


Ce week-end je suis partie. Non pas demander la main de mon épousé mais demander au témoin d'être témoin.

Celle que j'ai choisie pour témoin, c'est celle qui connait mes sentiments pour PapaPouic; le témoin finalement de mon amour pour lui.
Celle que j'ai choisie c'est celle qui nous a vus nous embrasser pour la première fois... il y a presque 24 ans.
Celle que j'ai choisie supporte mes états d'âme et d'amour depuis si longtemps que son approbation m'est nécessaire même si je la sais déjà acquise.
Celle que j'ai choisie, je la voulais déjà comme témoin et comme amie intemporelle dans mes rêves d'adolescente.



 Allez, z♥u, en avant!

Heureux printemps !


Partout le printemps réjouit les cœurs!
Ici aussi !

vendredi 19 mars 2010

Ben elle est où?

On perd une heure dans la nuit de samedi à dimanche.
A deux heures il sera donc trois heures.
Concrètement on se lève une heure plus tôt même si sur la montre il est une heure de plus.

La logique et moi nous ne sommes pas Amies, je vous l'avais déjà dit.
C'est très compliqué pour moi l'abstraction des chiffres. Compliqué à un point... je suis obligée de faire croire que j'ai compris dès 5min d'explication sinon de peur qu'on ne me prenne pour une femme au QI de ruminant...




Une chose est pourtant certaine c'est que cela me ravit :

Cette semaine, grande nouveauté du Pouic: réveil à 4 heures à cause d'une inondation de couche ou d'une p* de tétine de m*, et donc pour lui, 4h, ça ressemble à 5h, voire même à 6h donc on mange.
Il nous appelle donc  pendant 1h30 en gémissant "Miam Miam" "Oh Mama, Oh Papa"
Dès dimanche, il aura gain de cause par la force des choses la tête de mule.

Mais ce passage à l'heure d'été ça veut surtout dire "ETE" : linge qui sèche enfin dehors, manteaux rangés, soirées allongées, odeurs de printemps, verdure, envies de bouger, respirer...
Et pour nous un événement qui devrait nous occuper un peu : un mariage à planifier!
Mais un tout petit et surtout pas de tralalas...


EDIT DE 19H
Ha les chiffres!!!
On change d'heure la dernière semaine de mars, soit la semaine prochaine.

jeudi 18 mars 2010

Il est très distinguéééééé


Est-ce l'effet "coupe perfecto" du blouson?
Le mini-croissant offert par la gentille boulangère charmée?
Le goûter pris in town?
(je révise mon anglais: départ dans 3 semaines)

Il se la pèterait un peu le Pouic avec son petit doigt en l'air!?

A moins que ma ressemblance avec Charlotte de Turckheim ne soit héréditaire?
(aussi bien physique que côté Mme Mâchin- paraît-il)


mercredi 17 mars 2010

READ Y !



ZAZA nous voilà!
En rouge et blanc!
Avec un strip-tease du Pouic à la clé!

A croire que la monomanie est familiale!
Pour cet été, promis, plus de rayures!

Même l'angiome est assorti!!
La grande classe!

Monomanie



Je vous avais déjà dit que PapaPouic avait des passions cycliques?

En ce moment, c'est pancakes maison à tous les repas avec l'album de Alexis HK en boucle.

Faut endurer... et aimer!!

Question odeurs, c'est pas mieux que le bacon grillé... mais au moins là le Pouic peut en profiter!

Toi aussi, chez toi, certains éprouvent des passions subites et envahissantes ou je suis la seule à plaindre?

mardi 16 mars 2010

Le blues du caddie


Y'a un truc qui me déprime plus que tout c'est les Hyper Grandes surfaces.

C'est physique: je transpire, mes jambes flageolent, ma vue se brouille.

Un jour je vais trépasser avant d'arriver en caisse, c'est sur...

Et il parait que je me répète en m'affligeant de la tristesse des consommateurs, des enfants en bas âge qui mangent des gâteaux à 19h, des cernes et de la fatigue des gens, de  la violence des paroles des parents, de la dépression latente de ce système d'ultra consommation, de l'agression du bruit, de la lumière.

Est-ce parce que nous habitons, là-haut, dans ce Nord réputé à juste titre pauvre?

En plus, évidemment l'addition est lourde en caisse et on a rien à bouffer dans le frigo. Tentation quand tu nous tiens...

Oh que je déteste ça...
Ne me dis pas que toi tu aimes sinon je te maile ma liste toutes les semaines pour les courses livrées à domicile!


Pink lady


Chrys veut du R♥SE bien girly
Mais nous on n'a pas de Pouiquette à la maison!
Même si le petit a un polo fillette dans la garde-robe,

Le R♥SE n'est pas ma couleur.
Et si Pouiquette il y a, ce ne sera pas une princesse!

Oui, c'est bien ma culotte
Et oui c'est bien un moule à muffin sur la tête blanche pas du Papé mais du Pouic!

lundi 15 mars 2010

Un l♥♥k, un jour!



Et je saute sur le pieu des parents
Un dimanche à 8h du matin.
"Acceptable"

Ça c'est en attendant notre participation au concours de Zaza
Ce l♥♥k, un jour, on le réfléchit, on le peaufine, on le travaille quoi...
D'ailleurs ma mère y dépense toute son énergie (et pas que son énergie °_°)

Challenge Daphné Du Maurier #1

 La crique du français, Daphné Du Maurier
Admirez la mise en scène du livre: le pirate, le bateau dans la crique!


Quelle étrange sensation de renouer avec la littérature anglaise du début du siècle dernier! (surtout quand on vient de fermer un roman -anglais aussi mais- bien contemporain)!

Au début un frisson de gêne et d'angoisse m'a parcourue: qu'est-ce que je fais à lire ce livre? C'est qui cette héroïne capricieuse, gâtée, repoussant un mari fou d'amour? Ho la la, ça sent la trame narrative que je déteste: la belle et riche rebelle qui tombe amoureuse du beau pirate français...
Aïe quel est ce livre? un exemplaire perdu de la collection Harlequin?

Mais j'ai persisté, ayant déjà lu et fort apprécié Du Maurier. Non je ne pouvais pas être déçue! (d'autant plus que je viens de m'inscrire au challenge d'Océane)

Et finalement, très vite, je me suis laissée submerger par le récit épique. Dès que Dona monte sur le bateau, l'aventure supplante la bluette : de l'action, du suspens, de l'émotion, de l'humour, des stratagèmes. Tous les ingrédients sont réunis pour ne pas avoir envie de fermer le roman avant de l'avoir achevé!

Et... l'histoire d'amour : le poids des conventions, la force des sentiments..  Malgré l'audace des héros et la liberté dont ils font preuve, aussi bien dans leurs actes que dans leurs paroles (une discussion sur la sexualité homme/femme trouvée dans le roman m'a laissée pantoise), il s'agit bien du choix de raison qui guide la fin de l'œuvre...

J'ai donc aimé ce roman malgré un début difficile.
Et je vais bien vite me plonger dans un autre titre.
Des conseils?



dimanche 14 mars 2010

Happy Sunday Evening Saison 2, #28


Un week-end comme je l'attendais depuis si longtemps!

En vrac:
Les première puces d'articles de puériculture (6 euros = poupon tout rond et circuit Fisher Price qui ont fasciné et ravi le Pouic) - un rayon de soleil tout doux et une grande ballade - un PapaPouic présent - Un bel arbre de Pâques dans le salon - Un bain partagé avec deux poupons et plein de savon - du repos - un repas de famille - un livre achevé, un autre commencé - un p'tit paquet de copies corrigé - un mariage quasi programmé - un film (Welcome) regardé et pas une larme de versée - une entrée au pas de course à 17h58 dans le bureau de vote pour glisser du vert 
Hmmmmmm ça sent le printemps!

Les autres sont chez Poppy!

samedi 13 mars 2010

Tout ça pour dire...

Que j'ai laissé filer une grande carrière de mannequin
Qu'encore ce matin j'ai un tronche fatiguée même si je n'ai pas eu le Pouic à dormir
Que vous m'avez permis de faire une pause dans le maniement de la balayette
Que je suis complètement fêlée (quelquefois)
Que la vie est BELLE
Que je vous souhaite un EXCELLENT week-end.


Et si tu faisais aussi ta fofolle sur le site Photocabine pour prouver que je ne suis pas la seule barzingue du samedi?






Tiens en voilà deux! Chrys et sa jolie Cassandre!



Anne-Laure aussi!
Que de belles grimaces!!

J' ADORE!
Gala et Maman@home ont également participé très très gaiment!
Çavaut le coup d'œil toutes ces fofolles :)

Chez Gol c'est la méga folie aussi!

Et Monette aussi qui risque gros en s'affichant ainsi ;)

Quelque chose à te dire



Quatrième de couverture

Jamal, brillant psychiatre d'origine pakistanaise, mène une vie tranquille, auréolée de succès, dans la banlieue de Londres. Une façade de réussite qui ne laisse rien transparaître des troubles profonds qui le hantent. Jusqu'au jour où un ancien compagnon de route ravive la mémoire d'un amour perdu, brisé par le crime et la honte. Brillant, profond et drôle, Hanif Kureishi radiographie comme personne la société anglaise des années 1970 à nos jours et fait preuve d'une acuité hors du commun pour décrire les tourments d'une génération en conflit perpétuel avec ses origines et son passé, ses désirs et ses regrets.

Ma lecture

Pendant toute la première moitié du roman, j'ai trouvé l'intrigue trainante même si les personnages deviennent vite attachants.
A partir du moment où le passé ressurgit, la respectabilité de Jamal, brillant psychanalyste, s'effrite sous mes yeux de lectrice : drogue, meurtre, alcool, sexualité débridée...

Seuls les sentiments sont purs (l'amour inconditionnel qu'il voue à son fils, son amour de jeunesse qu'il n'a jamais oublié, sa femme de laquelle il ne divorce pas) mais les histoires vécues entre les personnages m'ont semblé peu crédibles.


Il y a beaucoup de références intéressantes à la psychanalyse et le tableau dressé de la société anglaise est réaliste.
Je n'ai pas été emballée par ce roman même si je n'ai pas détesté mais mes sentiments sont en demi-teinte.

Il parait qu'il a signé les scénarios de My Beautifil Laundrette (mis à l'écran par S. Frears) et qu'il faut lire absolument Le bouddha de banlieue.
Pourquoi pas alors...

Je ne me souviens de quelle manière je suis arrivée jusqu'à ce livre, si l'une d'entre vous se reconnait, qu'elle me le dise, que je puisse partager mes impressions!

Je dépose cet article dans mon autre chez moi que nous partageons à 5, ICI

vendredi 12 mars 2010

And the winner is...






 J'espère que Causette te plaira! 
Envoie moi vite ton adresse
pour que je te poste l'exemplaire dès demain.

Une poule dans la cuisine

Journée culinaire

La femme coupée en deux propose un concours:
il s'agit de montrer une photo mettant en scène une poule dans la cuisine!

Maintes fois j'ai voulu sortir ma palette de blush des grands jours pour vous dévoiler un moi Poupoule,
mais c'est ma feignantise du démaquillage qui a eu raison de mon grimage.


J'ai donc sorti la poule
Ouvert le frigo
(pour le raffermissement de sa peau)
Et pour ne pas avoir la SPA sur le dos
Lui ai couvert le gosier

Ça ira ma poule?
(oui, je sais, faut que j'aille faire des courses!)

Ton livre de cuisine préféré?



Il ne date pas d'hier mon livre de cuisine préféré, Chère Virginie B.
Puisque c'est celui hérité de ma Mamie que j'ai décidé de vous montrer.

Outre l'aspect sentimental de l'objet, il fallait vraiment que je vous dévoile une autre particularité :

La qualité des illustrations et des mises en scène
Kitsh, non??


(âmes sensibles ou végétariennes s'abstenir...)


jeudi 11 mars 2010

De battre mon coeur s'est emballé

Me voici tagguée par Chocoladdict à propos de mon coeur de Maman.



5 situations dans lesquelles mon coeur explose de bonheur :
  1. Quand ... le Pouic dit "Oh Maman" et me serre dans ses bras
  2. Quand...  je suis le lion, je m'avance à quatre pattes, le ventre touchant terre (à cause de l'effet prédateur, pas à cause des bourrelets mais ça pourrait), guettant ma proie, que je l'entends glousser de plaisir et que je me rue, rugissant pour croquer ses cuisses ou son ventre
  3. Quand... on chante tous les deux dans la voiture, qu'on regarde les oiseaux avant d'entrer à la crèche, qu'on s'arrête voir passer le train et qu'on se créé de nouvelles complicités quotidiennement.
  4. Quand... je le vois sérieux, concentré sur ses jouets, ses écritures, ses livres. Quand je découvre un petit bonhomme autonome, qui a son univers apaisé.
  5. Quand... je le vois proche de son Papa qui s'occupe si passionnément de lui.  Je voudrais toute ma vie que notre famille soit unie, heureuse et amoureuse (aïe, j'ai pas réussi à échapper à la niaiserie!)




5 situations dans lesquelles serais prête à rendre ma panoplie de Maman :


  1. Quand... Môsieur ne pionce pas bien. Moi j'suis pas une fille de la nuit. Je déteste me lever sans raison valable (et y'en a très rarement de valables -sucette de m**de). Je hais la fatigue.
  2. Quand... le Pouic est malade. Ça m'angoisse tellement que je me dis que je ferais mieux de n'aimer personne, ni mec ni bambin pour ne pas m'inquiéter. Pas avouable le machin?
  3. Quand... je ne parviens pas à sortir la tête de l'eau (pas besoin d 'explication, on est toutes dans le même bateau)
  4. Quand...  je regarde la banette de linge sale, et celle de linge propre qui suit derrière
  5. Quand... pour la centième fois de la journée je déplie la poussette, dessangle le Pouic du siège-auto, le porte, le mets dans la poussette, le trimballe, le sors de la poussette, le remets dans la poussette, le porte et transporte encore et toujours...
Je passe le relais,
Je me sentirai moins seule!

Pas d'obligation les filles, ok?

Tu ne gardes qu'un seul magazine: lequel?

Celui-ci, du premier au dernier, Virginie B.


Je profite de cette occasion pour te rappeler que les heures défilent, et il ne t'en reste qu'une poignée pour gagner mon numéro de Causette, le dernier!
Pour cela, tu réponds à cette question :

Quel est le numéro du Causette paru ce samedi? 
Et donc de celui que tu t'apprêtes à recevoir?
Un indice Ici

Tu glisses quelque part chez toi ma bannière,
et réponds dans un commentaire à la question

Ce vendredi à 18h, tirage au sort du nom de la gagnante!


Je te conseille aussi vivement d'aller faire un tour chez Océane 
qui te propose du Causette sur la durée avec un concours original !