samedi 13 mars 2010

Tout ça pour dire...

Que j'ai laissé filer une grande carrière de mannequin
Qu'encore ce matin j'ai un tronche fatiguée même si je n'ai pas eu le Pouic à dormir
Que vous m'avez permis de faire une pause dans le maniement de la balayette
Que je suis complètement fêlée (quelquefois)
Que la vie est BELLE
Que je vous souhaite un EXCELLENT week-end.


Et si tu faisais aussi ta fofolle sur le site Photocabine pour prouver que je ne suis pas la seule barzingue du samedi?






Tiens en voilà deux! Chrys et sa jolie Cassandre!



Anne-Laure aussi!
Que de belles grimaces!!

J' ADORE!
Gala et Maman@home ont également participé très très gaiment!
Çavaut le coup d'œil toutes ces fofolles :)

Chez Gol c'est la méga folie aussi!

Et Monette aussi qui risque gros en s'affichant ainsi ;)

Quelque chose à te dire



Quatrième de couverture

Jamal, brillant psychiatre d'origine pakistanaise, mène une vie tranquille, auréolée de succès, dans la banlieue de Londres. Une façade de réussite qui ne laisse rien transparaître des troubles profonds qui le hantent. Jusqu'au jour où un ancien compagnon de route ravive la mémoire d'un amour perdu, brisé par le crime et la honte. Brillant, profond et drôle, Hanif Kureishi radiographie comme personne la société anglaise des années 1970 à nos jours et fait preuve d'une acuité hors du commun pour décrire les tourments d'une génération en conflit perpétuel avec ses origines et son passé, ses désirs et ses regrets.

Ma lecture

Pendant toute la première moitié du roman, j'ai trouvé l'intrigue trainante même si les personnages deviennent vite attachants.
A partir du moment où le passé ressurgit, la respectabilité de Jamal, brillant psychanalyste, s'effrite sous mes yeux de lectrice : drogue, meurtre, alcool, sexualité débridée...

Seuls les sentiments sont purs (l'amour inconditionnel qu'il voue à son fils, son amour de jeunesse qu'il n'a jamais oublié, sa femme de laquelle il ne divorce pas) mais les histoires vécues entre les personnages m'ont semblé peu crédibles.


Il y a beaucoup de références intéressantes à la psychanalyse et le tableau dressé de la société anglaise est réaliste.
Je n'ai pas été emballée par ce roman même si je n'ai pas détesté mais mes sentiments sont en demi-teinte.

Il parait qu'il a signé les scénarios de My Beautifil Laundrette (mis à l'écran par S. Frears) et qu'il faut lire absolument Le bouddha de banlieue.
Pourquoi pas alors...

Je ne me souviens de quelle manière je suis arrivée jusqu'à ce livre, si l'une d'entre vous se reconnait, qu'elle me le dise, que je puisse partager mes impressions!

Je dépose cet article dans mon autre chez moi que nous partageons à 5, ICI