mardi 31 mai 2011

Trois hommes dans ma vie


Un troisième homme sous mon toit et je suis folle de joie !
(mon banquier sera sans doute très soulagé)

Visiblement je suis bien entrée dans la famille de L'Epoux, spécialiste en l'art de faire des bébés-mecs!

lundi 30 mai 2011

Le soir où nous avons découvert l'haptonomie

Pour la naissance du Pouic j'avais décidé de ne pas accoucher à l'hôpital: un espace trop grand, des soignants qui ne sont jamais les mêmes, des rendez-vous pris des mois à l'avance, trois échographies seulement.
Un contexte qui n'allait pas pouvoir calmer mes crises d'hypocondrie et de panique à la vue d'une blouse blanche (le tensiomètre pouvant passer de 12 à 21 en trois secondes).

J'ai eu donc la chance de voir 9 fois mon bébé, 9 échographies, des heures de discussion avec mon obstétricien;
J'ai bénéficié de cours de préparation à l'accouchement en piscine, ultra privée, ultra chauffée, celle de la clinique. 5 mamans à se regarder gonfler et à jouer à la baleine, tout ça remboursé, au lieu de regarder des dvd d’accouchements.

A 3 semaines du terme j'ai découvert que le bébé ne POUVAIT pas descendre (donc césarienne programmée) et que je n'avais pas perdu mon temps à jouer à imiter le phoque plutôt qu'à apprendre à souffler, pousser, respirer et transpirer.
C'est tout autre chose qui m'attendait... Un cachet zénifiant et mon "accouchement" s'est déroulé vite et sans douleurs. Dans la tête c'est autre chose... la peur de se voir mourir (6 de tension), la sensation d'avoir brisé le repos de mon fils en le réveillant de manière traumatisante pour les 12 mois qui suivirent, la cicatrice encore aujourd'hui immense, dérapante, non dissimulée par les poils, une peau qui cicatrise mal.

Bien sur je n'ai pas connu les contractions mais TOUT savoir de l'issue tant espérée et redoutée n'est pas du tout apaisant comme on pourrait l'imaginer.

Pour cette seconde grossesse, j'avais donc décidé de briser le mécanisme de la peur en consultant une psy, persuadée qu'il n'y aurait toujours pas d'haptonomie proposée dans ma petite ville.
Erreur! une psychologue spécialisée en haptonomie exerce à 500 mètres de la maison!

Il me fallait convaincre alors l'Epoux de m’accompagner car il n'y a pas d'haptonomie sans accompagnant. Il devait donc être là, et pleinement consentant sinon cela foutait mon projet à l'eau.
Infirmier, son rapport au corps, à la psychothérapie est volontiers ouvert et consentant mais, grand timide, je craignais que son rôle en tant qu'acteur principal (avec bébé) le tétanise un peu. Pourtant, il a d'emblée accepté, sachant à quel point cela pouvait m'aider à m'approprier mon corps grossissant, cela pouvait nous permettre d'avoir un projet commun autour de ce nouveau bébé, un projet dont le Pouic ne serait pas/plus le protagoniste principal. Enfin, ce serait découvrir cette pratique dont on m'a dit le plus grand bien (merci encore Mme Boubou).


Nous avions rendez-vous ce soir et après quelques questions d'usage (date prévue d'accouchement, frère/soeur, conditions et ressentis de la première naissance, allaitement...), me voici la robe retroussée, prête à offrir mon bidon/ mon bébé à leurs mains.
Mouvements de balanciers des hanches qui ont fait gonfler mon ventre, déplacements de bassin, points de pression des paumes sur l'utérus: bébé se déplace sous les mains de son Papa et je le ressens, fort et différemment. La sensation qu'il est là je l'ai depuis quelques jours. Mais mes sensations ne sont plus les mêmes quand c'est son Papa qui "l'appelle".

Au-delà de ces tentatives de communications, cette première séance d'haptonomie a été une ré-appropriation de mes courbes pour L'Epoux: toucher, trouver les limites, agir, apaiser, faire du bien à ce corps qui abrite un nouveau  bébé qui pousse. Un corps que j'ai moi-même bien du mal à voir grossir et s'arrondir très vite et très visiblement déjà.
Ce second bébé nous fait déjà grandir, individuellement et au sein de notre couple.

Nous sommes rentrés enchantés:
Enchantés de vivre doublement un projet commun.
Enchantés de parvenir à oublier ce thérapeute accompagnant, nous qui avons tant de mal avec le rapport au corps, au nôtre, au lâcher-prise dans le toucher.

Rendez-vous pris pour la fin du mois prochain.
Demain, pour moi, un autre moment important m'attend : celui où je découvrirai, s'il se laisse découvrir, le petit bébé garçon ou bébé fille que je chéris déjà si fort...



(horoscope prémonitoire du mois de janvier)


dimanche 29 mai 2011

Vivement Dimanche Prochain # 17

Cousinades.


Ils sont complices, inséparables, meilleurs publics l'un de l'autre, en attendant qu'un jour prochain ils se chamaillent comme des frères...


C'était aussi la fête des mères et personne n'a pu laisser passer l'info; surtout pas moi.
Je suis presque jalouse de moi même tant j'ai encore été gâtée cette année : des vêtements pour faire de moi la plus belle des presque double Maman (dans la faible mesure de mes moyens), une montre pour compter les heures qui me séparent du cap des 9 mois, et une belle création du Pouic!

Un bien beau dimanche sans blues car la semaine qui vient sera TRÈS courte!

Heureuse semaine à vous, et à toi Zaza

mardi 24 mai 2011

Premiers pas dans l'univers des grands...


 Rendez-vous cet après-midi avec la directrice de l'école.
La possibilité d'avoir une longue discussion et une visite rien que pour nous, la directrice, main dans la main avec le Pouic.
Premiers ressentis : une résistante/révoltée contre le système qui pousserait à ouvrir des classes de maternelle à 30 bébés-enfants! 
Une volonté affichée et farouche de rester une école humaine avec des rapports humains respectant le rythme des enfants et les liens affectifs et confidentiels entre le personnel et les familles.

Il va falloir que tous, nous luttions des années encore pour que nos enfants ne soient pas considérés comme des numéros...

En attendant, voici l'école à travers les mots du Pouic:
"C'est quoi ça Papa?"

 "Il est où mon lit Maman?"
 "C'est écrit où Octave?"


 "Ils sont où les autres enfants Maman?"
 


(Arbre en cœur dans la cour: joli signe?)

 


"Elle est où la Maîcresse?"

(Papa et Maman à l'école)
  


(Retour à pieds dans un état d'épuisement total)
 


 Le Pouic n'a plus de fièvre depuis dimanche après-midi, on ne sait pas vraiment ce qu'il a eu (une seconde roséole?). 
Il reste une grosse fatigue donc beaucoup de pleurs pour rien, un enfant très exigeant, fatigant, chiant.
Allez, tout passe ! Le meilleur comme le pire !


PS: Faut-il que je vous avoue qu'en voyant mon fils entrer dans la salle de Petite Section de Maternelle, j'ai versé ma larme?
La faute aux hormones, bien sur!!










dimanche 22 mai 2011

Vivement Dimanche Prochain # 16


Un week-end qui s'annonçait très chargé mais qui fut totalement chamboulé à cause d'une montée imprévue de fièvre. Un Pouic malade, c'est rare. Très rare. Cela le rend plus câlin et moi plus anxieuse que jamais. Ce soir, nous avons gagné la bataille et me voilà KO.

Ce fut pourtant un week-end aux beaux cadeaux, mon Epoux m'a offert une sublime pochette en cuir Until July, une belle plante qui me promet de belles éclosions, et Le Pouic a allumé son premier ordinateur en me demandant gentiment "d'aller me reposer dans le canapé, je veux être tranquille Maman". Mimétisme? Envie de découvrir seul? Encore un dimanche soir qui s'achève sur des mots surprenants

Malgré un samedi bien foiré, nous avons consacré notre dimanche :
à pester après la chaudière pour tenter de prendre une douche chaude,
à rendre visite aux arrière-mamies (rien que trois!!)
à câliner plus encore que tous les jours de la semaine réunie.

Je crois que chez Zaza, l'Empereur a joué à la varicelle !
Et chez vous?

mercredi 18 mai 2011

Gourmandise du mercredi...


Hmmmmmm bien chocolatée (elle doit impérativement être de couleur foncée),
la crème au beurre laissée de côté, 
on savoure le petit chou à la main avant de s'attaquer au gros à la cuillère...

Voilà Anne Laure ma pâtisserie préférée du moment. Et la tienne?

dimanche 15 mai 2011

Vivement Dimanche Prochain # 15


Après une longue semaine sans se voir beaucoup, ce dimanche nous a réunis, le Pouic et moi.

Entre celui de 10 cm dans mon bide et l'autre koala pendu à mon cou/ mes jambes/ mes bras, j'ai eu quelquefois le sentiment d'étouffer un peu.

Un dimanche donc en totale fusion où j'ai peiné à ouvrir mon livre, à m'isoler quelques secondes. Mais un  dimanche rempli d'amour jusqu'à... ce que ce soir, après avoir refusé de lui lire une seconde histoire (son père lui en avait déjà lu trois m'a-t-il précisé), alors que je le bordais amoureusement avant le dernier baiser, le goujat m'a demandé très poliment et très tendrement "Maman j'ai pas besoin de toi, bonne nuit".

Je crois en sa spontanéité et si je me suis plaint intérieurement de cette journée un peu trop fusionnelle, je crois que ce soir je n'ai pas été la seule à ressentir ce trop-plein!

Voilà Zaza, un dimanche qui se clôt de lui-même grâce à la délicatesse de mon fils :-}

La crème des crèmes au chocolat !



Une recette de crèmes au chocolat qui n'a absolument rien à envier aux meilleurs pots de supermarché.

Une recette qui se transmet via le livre de recettes de ma Mamie. C'est ma Maman qui m'a permis de la redécouvrir hier.

Parce que la fête des mères approche (chez Chocoladdict aussi), je voulais partager cette recette du petit pot de crème au chocolat absolument divin...






Ingrédients:
  • 1/2 litre de lait demi-écrémé
  • 3 oeufs
  • 100 gr de sucre (75 suffisent à mon goût)
  • 125 gr de chocolat noir
  • Eventuellement un peu de cacao amer



Faire bouillir le lait avec le sucre.
Quand le lait a bouilli, retirez le du feu.
Mettez deux cuillères de lait bouillant avec le chocolat dans une casserole, laisser fondre doucement en remuant de manière à ce qu'il n'y ait pas de grumeaux. Vous pouvez ajouter un peu de cacao amer (type Van Houten pour un goût plus chocolaté).
Quand le chocolat a fondu, ajoutez le reste de lait.
Laissez refroidir.
Battez ensemble les 3 jaunes d'oeufs + 1 blanc que vous  versez en remuant dans le chocolat au lait,
Passez à la fin passoire,
Versez dans des ramequins, faire prendre au bain marie 15 à 20 minutes à four moyen.

Dégustez et venez me dire ce que vous en pensez!!

samedi 14 mai 2011

Quand les pages me portent en Inde


Présentation de l'éditeur
1878. Première fille à naître chez les Nachimanda depuis plus de soixante ans, la belle et fougueuse Devi est le trésor de sa famille. Elle se lie d'amitié avec Devanna, un jeune garçon brillant dont la mère est morte de façon tragique. Les deux enfants, inséparables, grandissent dans la luxuriante région de Coorg, dans le Sud de l'Inde, couvés par une large famille aux racines ancrées dans cette terre depuis des siècles. Leurs destins semblent inévitablement liés ; mais tout change la nuit où ils assistent à un "mariage de tigre". C'est là que Devi aperçoit pour la première fois Machu, chasseur réputé et célèbre tueur de tigres. Bien qu'elle soit encore une enfant et Machu déjà un homme, Devi jure qu'elle l'épousera un jour. Cet amour creusera peu à peu un fossé entre Devi et Devanna, semant le germe d'un drame qui touchera jusqu'aux générations futures. Des amours contrariées, une terre chargée d'histoire, des personnages flamboyants, le premier roman de Sarita Mandanna est tout simplement inoubliable.

Je me suis totalement laissée transporter par ce roman, découvrant l'Inde et ses coutumes, son histoire également mêlée à celle de l'Europe. Les personnages sont attachants, la profonde blessure avec laquelle ils tentent de vivre, de construire les rend fragiles (et pourtant forts), incapables d'aimer sans faire souffrir l'objet de leur amour.
Mes hormones de future Maman faisant de moi un cœur encore plus tendre, j'ai frémi pour cette histoire où tous les sentiments s'entremêlent en permanence, bien loin de l'histoire romantique; m'interrogeant aussi sur la puissance des croyances et des présages.
En quelques jours, je me suis laissée envouter par cette histoire qui se lit vite et légèrement. 

lundi 9 mai 2011

Les sacrifiés de mon sac à main


 J'ai craqué pour un petit sac à main de femme repéré il y a déjà quelques semaines chez Monop' et aujourd'hui à 50%.
Une grande envie d'accessoires de couleur et d'alléger mon épaule du sac besace énorme.

Mais je rencontre un souci de taille : Je dois laisser la moitié de son contenu à la maison.
Alors je tente de ranger comme un puzzle, de manière à ce que tout rentre mais je ne peux plus le fermer.

J'ai besoin de tout au quotidien:
- Appareil photo
- Carnet
- Agenda
- Porte feuilles avec chéquier, Visa, passeport, carte mutuelle, sécu...
- Lunettes de soleil
- Désinfectant pour les mains
- Bouteille d'eau
- Porte-cartes
- Mon goûter (pom'pot)
- Téléphone
- Rouge à lèvres, chewing-gums, kleenex.
Et c'est pas le week-end donc je n'ai pas le blouson du Pouic, son bob, la crème solaire...

Je ne veux pas renoncer à mon si joli sac à main! mais je ne parviens pas à choisir entre l'indispensable et le vital!
 Je suis déçue comme si j'avais découvert qu'il y avait un gros défaut de fabrication et je ne vais tout de même pas porter un sac à dos (ou pire une "banane" en plus de mon sac!)

J'ai besoin de tes conseils de femme. Help !

dimanche 8 mai 2011

Vivement Dimanche Prochain # 14

J'aime tant ces dimanches où nous sommes tous les trois, où L'Epoux ne bosse pas.
Le gros biberon du matin dégusté entre nous deux, suivi de câlins.
Un vrai petit déjeuner du Dimanche avec croissants tout chauds,
Un temps heureusement capricieux qui nous a fait sortir les tongs pour une grande balade sur la plage, des achats de livres dans un vide-grenier et dans la ville, devenue pour une journée, ville aux fleurs.
Une sieste de trois heures. Si si si.
Un petit tour dans la piscine tout juste offerte par des amis parents d'enfants grandissant,
Un partage d'esquimau au chocolat
Une séance de travail volée pendant l'heure du bain


Et c'est reparti pour un tour... 
Une semaine très chargée au boulot
et une démarche qui nous éloigne du monde des bébés (à deux ans et demi hier):
l'inscription à l'école maternelle !

Et vous, les dimanches, c'est toujours à 3, 4 voire 5?

samedi 7 mai 2011

Une par semaine


Jeudi soir.

L'Epoux et moi sommes seuls. Pour une fois, la télé est allumée, nous sommes plantés devant.

Générique de fin du Grand Journal.

Dans quelques minutes, les épisodes inédits de Desperate Housewives. Je me fais mal: j'ai résilié notre abonnement il y a deux mois, prétextant à l'Epoux qu'on ne regardait jamais la télé et que j'ai trouvé plus raisonnable d'investir dans une épargne retraite.

La publicité.
Häagen -Dasz. 
Coeur chocolat fondant. 




- Tiens ça a l'air bon
- ...
- Oh punaise faut vraiment que j'y goûte!
Les minutes passent. Devant mes yeux, coule encore le coeur fondant.

- Dis, t'as pas envie d'aller me chercher de la glace?
- Dans le congélo?
Il a déjà décroché de la Häagen-Dasz, lui.
- Non, à l'hypermarché.
- Il est presque 21h!
- Et? c'est encore ouvert j'imagine! Tu sais on entend toujours dire que certains futurs pères cherchent des fraises la nuit dans tout Paris pour leur femme.
- Oui c'est vrai.
Grrrrrr le flegme britannique de l'Epoux...
- Moi je suis bien allée une fois te chercher des clopes le soir
- Tu fumais encore! On ira demain si tu veux!
Mon dernier argument n'a pas fait mouche...

Je n'ai pu acheter ma glace que deux jours plus tard. C'était la dernière boite de deux seulement.
Je termine la dégustation à l'instant. J'ai moitié la nausée. C'est délicieux en effet mais je ne mange quasiment plus de sucré depuis deux mois même si mes envies (régulières, au rythme d'une par semaine!) me portent vers les produits qui apportent de la fraicheur en bouche: les carottes rapées, le pulco citron, les concombres et tomates en grappe m'avaient habituée à être plus raisonnable.

C'est bon quand même d'être capricieux parfois!

Je tiens à remercier Choco parce que grâce à elle et aux financiers au chocolat, j'ai gagné un superbe porte-bébé BabyBjörn ligne rétro!  juste celui dont je rêvais!

vendredi 6 mai 2011

En lisant...



En lisant,



J'apprends grâce à ce super journal de grossesse (merci ZAZA!) que je n'ai plus qu'un neurone, et en effet, je m'en rends vraiment compte surtout lorsque malheureusement pour eux je suis fasse à mes élèves incapable de me souvenir de la règles des adjectifs numéraux que j'applique pourtant au quotidien!


J'apprends qu'Octave n'est pas un prénom rétro mais qu'Oscar oui.

J'apprends que le prénom sur lequel nous tombons à peu près d'accord pour une petite fille fera, sans doute, d'elle une mère possessive et étouffante. Tant mieux mes petits-enfants me tomberont dans les bras.
Si c'est une fille...

J'apprends que mes seins vont arrêter de grossir pour reprendre leur croissance (?) dans quelques semaines. Pitié, voilà que mon calvaire et mes complexes vont reprendre de plus belle...

J'apprends que bébé sent déjà les caresses et moi je crois le sentir papillonner dans mon ventre, surtout quand son Papa l'amadoue. D'ailleurs ce passage du Cahier des paresseuses m'a définitivement convaincue de m'inscrire à quelques cours d'haptonomie.
 Si une d'entre vous en a suivi, je suis avide de témoignages!

En lisant, je découvre aussi que s'il s'agit d'un petit garçon l'Epoux, en panne d'inspiration, ne craint pas les prénoms ridicules!

Bref, si tu as d'autres lectures de grossesse passionnantes à me conseiller, je suis toujours preneuse.
PS: Bon week-end à vous!

lundi 2 mai 2011

Vivement Dimanche Prochain du lundi # 13







A la bourre pour rejoindre mon amie Zaza en ce dimanche soir, mais j'ai de la photo...

Un p'tit baptisé trop chou qui se demande ce qu'il fait avec un collier, une marraine comblée et jamais coiffée (moi !), un nudiste dans la famille qui essaie de se transformer en clown Babybel sans l'aimer donc pour mieux le cracher ensuite, des
cadeaux qu'il a fallu essayer.

















Et la joie de voir aujourd'hui La Graine s'agiter et sembler être en pleine forme à téter dans le vide. Encore un mois pour savoir si Le Pouic aura un frère ou une sœur à cause de mon utérus rétroversé, mais lui est sur qu'il s'agit d'une sœur. S'il le dit... moi j'y crois! (et l'Epoux espère le contraire).


Comme c'est émouvant ces premiers instants de rencontre!


Bonne semaine à vous tous/toutes!
(je continue à couver, mon énergie revient peu à peu)